Depuis 32 ans, l’affaire des « fiancés assassinés de Fontainebleau » hante les couloirs du palais de justice d’Evry. Ce triple meurtre n’a jamais été résolu* alors qu’il existe des témoignages récents de nature à définir une nouvelle piste.
De nouvelles zones d’ombre apparaissent
Ce quatrième jour du procès restera à tout jamais marqué d’une pierre noire pour la gendarmerie. Deux militaires de la Section de recherches de Montpellier éprouvent « de grandes difficultés » à répondre aux questions posées tant par le président Verleene que par les avocats de Cédric qui cherchent à savoir qui parmi eux était réellement présent lors des périodes de pause au cours desquelles l’étudiant montpelliérain aurait été soumis à une pression psychologique.
Si aucun des militaires n’admet que ses réponses aient pu être suggérées à Cédric, Me Natali fait toutefois part de « son sentiment personnel que certains d’entre eux se posent des questions… ».
L’atmosphère est à ce point tendue que ces deux gendarmes sont tour à tour victimes « d’un léger malaise », contraignant le président Verleene à suspendre l’audience…
Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 28 mai et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.