Depuis 32 ans, l’affaire des « fiancés assassinés de Fontainebleau » hante les couloirs du palais de justice d’Evry. Ce triple meurtre n’a jamais été résolu* alors qu’il existe des témoignages récents de nature à définir une nouvelle piste.
Malaise ambiant face à des aveux contestés.
Dans le dossier des « Fiancés assassinés de Fontainebleau », la question relative à la véracité des prétendus aveux de Cédric présenté par les gendarmes comme l’auteur du triple meurtre s’avère essentielle. En effet, faute d’élément(s) matériel(s) de nature à le confondre, la mise en cause du jeune homme ne repose que sur ses « présumés aveux ». C’est là que la situation se complique…
Au terme de sa garde à vue durant laquelle il aurait passé des « aveux circonstanciés », Cédric est transféré de Montpellier (Hérault) au palais de justice d’Evry afin d’être présenté au juge d’instruction Françoise Méry-Dujardin, troisième juge d’instruction chargée du dossier. A peine se retrouve-t-il face à la magistrate qu’il récuse ses aveux, dénonce le comportement des enquêteurs, évoque l’existence « d’agressions verbales, d’insultes, d’agressions physiques » mais, surtout, Cédric affirme que les gendarmes lui ont pour partie « soufflé » les réponses aux questions posées sur les circonstances de la mort du couple et de leur chien
Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 14 mai et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.