Les coulisses du crime en Essonne : L’ombre de Michel Fourniret

Depuis près de 40 ans, le mystère des mortes de la RN20 résonne dans l’Essonne.

Des indices troublants, mais soupçon ne veut pas dire preuve.

Arrêté le vendredi 23 mars 1984 après avoir agressé sexuellement une jeune automobiliste à Ormoy, Michel Fourniret est-il impliqué dans les meurtres de la RN20 ? Quelques semaines après son placement en détention provisoire à la suite de l’agression perpétrée à Ormoy, Fourniret écrit au juge d’instruction en charge de son dossier, afin de lui révéler un certain nombre d’indices concernant ses victimes, expliquant qu’il a sévi de Plaisir à Trappes, en passant par Elancourt, Saint-Quentinen-Yvelines et Rambouillet dans les Yvelines, Epernon dans l’Eure-et-Loir, Gif-sur-Yvette, Bièvres et… Etampes dans l’Essonne.

Ce comportement « collaboratif » du pervers intrigue les hommes de la section criminelle du SRPJ versaillais. Et si cette « spontanéité » n’était qu’une façon « d’endormir » les policiers et de faire écran sur d’autres faits beaucoup plus graves, notamment une possible implication dans le dossier des « mortes de la RN20″…

Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 2 juillet (disponible sur sur cafeyn.co) et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.

Au terme de cette série sur Le mystère des mortes de la RN20, Le Républicain organisera un jeu concours avec de nombreux lots à gagner. Ne manquez donc pas un épisode de ce feuilleton sur les Coulisses du crime en Essonne.