Depuis près de 40 ans, le mystère des mortes de la RN20 résonne dans l’Essonne.
Des similitudes qui intriguent…
« On se demande quand et où sera découverte la prochaine victime… ». La question est sur toutes les lèvres. Pour les uns, les jeunes femmes ont été victimes d’un pervers sexuel…
Pour d’autres, il s’agit d’un crime mystique… D’autres encore y voient le geste d’un adepte de jeux sexuels sadomasochistes extrêmes… Cette ambiance pesante s’estompe progressivement d’autant qu’aucune nouvelle victime n’est découverte jusqu’au… mercredi 14 juillet 1982.
Vers 8h, le corps d’une femme en état de décomposition avancée (accélérée par la température estivale) est retrouvé, recroquevillé en chien de fusil, dans un boqueteau, route des Barguettes à Guillerval, en bordure de la RN20, à proximité de l’aérodrome d’Etampes-Mondésir.
L’état physiologique du cadavre limite les possibles opérations de prélèvements, toutefois l’autopsie permet d’établir que la malheureuse a succombé des suites « d’une asphyxie par compression ». Selon le médecin légiste, la mort serait intervenue le lundi 12 juillet…
Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 18 juin et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.