Depuis 32 ans, l’affaire des « fiancés assassinés de Fontainebleau » hante les couloirs du palais de justice d’Evry. Ce triple meurtre n’a jamais été résolu* alors qu’il existe des témoignages récents de nature à définir une nouvelle piste.
Pour les experts psychiatres, Cédric fait figure de coupable idéal…
Au terme de cette interminable instruction judiciaire, force est d’admettre que la montagne a accouché d’une souris ! A l’exception des aveux rétractés du présumé coupable, le dossier sonne creux.
Pire, d’inexplicables zones d’ombre persistent sur le déroulement exact de la tragédie et des minutes voir des jours qui ont suivi… Oubliée la thèse des deux tireurs ! Oubliées les invraisemblables confidences d’un détenu ! Oubliées les traces ADN non identifiées !
Lundi 19 novembre 2001, à l’ouverture du procès, Cédric est bien seul dans le box des accusés. Les débats permettront-ils de lever le voile sur un des faits divers les plus médiatisés de la fin du XXe siècle en France ?
Cédric étant mineur au moment de la commission des faits dont il répond, les débats auront donc lieu à huis clos et les seules informations qui « transpireront » des audiences sont celles que distilleront les avocats des parties civiles et de la défense au gré des interruptions de séance et de leur bon vouloir…
Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 21 mai et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.