Depuis près de 40 ans, le mystère des mortes de la RN20 résonne dans l’Essonne.
Les progrès de la police scientifique.
Les années passent sans qu’aucune avancée n’intervienne dans l’identification du ou des meurtrier(s). Le dossier est même sur le point d’être frappé par la prescription judiciaire lorsque Martine Monteil, « patronne » de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) décide de créer, en mai 2006, l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). Parmi ses missions, « une relecture de dossiers anciens, notamment à la lumière des progrès de la police technique et scientifique, de l’analyse criminelle et de l’analyse comportementale ».
A l’heure de répertorier ces « cold case » à la française, le commissaire Gilles Leclair, sous-directeur de la police judiciaire, qui a travaillé sur l’affaire des « mortes de la RN20 » lors de son passage à la brigade criminelle du SRPJ de Versailles dans les années 80, propose de soumettre le dossier à un nouvel examen sur la base de deux éléments…
Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 9 juillet (disponible sur sur cafeyn.co) et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.