Jeudi 2 juillet, l’emblématique Jacques Pradel tournera la page d’une aventure radiophonique débutée voici une décennie sur les ondes de RTL avec « L’heure du crime » ! Que les innombrables inconditionnels de ce monde si particulier ne se désespèrent pas. Dès octobre prochain, Jacques leur donne rendez-vous pour la « Collection Jacques Pradel » aux éditions JPO, une collection dédiée à la publication de témoignages très originaux sur l’univers des faits divers. En exclusivité pour Le Républicain de l’Essonne, l’anima- teur se confie à Christian Porte, ancien rédacteur en chef adjoint…
Christian Porte : L’actualité criminelle connaît un succès qui ne se dément pas, année après année. Combien d’émissions, d’heures d’antenne, d’invités dans L’Heure du crime depuis son lancement en 2010 sur RTL ? Quelle était l’idée de départ qui vous a conduit à initier ce concept qui a fait le succès d’audience que connaît l’émission ?
Jacques Pradel : Depuis le début de l’Heure du crime sur RTL, on doit flirter avec les 2500 émissions par an, ce qui représente à peu près 2500 heures d’antenne – et je pense qu’on est un peu en dessous de la réalité ! Je n’ai jamais fait le compte exact ! L’idée de départ était de proposer aux auditeurs un rendez-vous quotidien pour raconter l’actualité criminelle, mais surtout pour décrypter ces dossiers souvent complexes avec les témoignages, les yeux et la mémoire des principaux acteurs de l’époque, qu’ils soient avocats, magistrats, enquêteurs ou journalistes. Par ailleurs, on n’a jamais oublié qu’au-delà de scénarios parfois spectaculaires, il y avait une ou des victimes, et des familles dévastées, à qui on devait respect et vérité !
Christian Porte : Quel est LE fait divers que vous retenez à l’issue de toutes ces années ?
Jacques Pradel : Sans hésitation, c’est…
Retrouvez l’intégralité de cette interview dans nos éditions papier et numérique du jeudi 25 juin.