Le député de la 3e circonscription Alexis Izard participe au dialogue sur l’évolution de la loi Egalim.
Les thèmes économiques sont chers au député essonnien. Ces derniers mois et jusqu’au jeudi 15 février dernier, il a travaillé sur le sujet de la simplification de la vie économique. Il a ainsi animé les Rencontres de la simplification, une initiative lancée par Bercy visant à faciliter et améliorer la vie des entrepreneurs dans la compréhension des normes, dans les relations avec les administrations et dans les démarches du quotidien.
Des consultations à l’Assemblée nationale, mais également des visites d’entreprises en Essonne, et des déplacements dans toute la France lui ont permis d’échanger avec les réseaux d’entreprises, d’artisans et de commerçants. Ce travail a débouché sur le rapport parlementaire présenté le jeudi 15 février dernier à Bercy. Dans celui-ci, 14 mesures avec un objectif simple « rendre des heures aux Français ». Celui-ci devrait déboucher sur un projet de loi qui devrait être présenté au premier trimestre 2024 visant à poursuivre la simplification des normes qui entravent la croissance des entreprises, en particulier les plus petites et moyennes.
C’est dans la continuité de ce travail qu’Alexis Izard s’attelle maintenant au dialogue avec les acteurs économiques des filières agricoles et alimentaires autour de l’application de la loi Egalim. « Nous devons faire évoluer la loi Egalim pour que les agriculteurs puissent se rémunérer à leur juste valeur », insiste le député. Au cœur des échanges qu’il a pu avoir au Salon international de l’agriculture, « la simplification des normes », est revenu régulièrement, tout comme l’innovation.
Lors des questions au gouvernement en séance le mardi 27 février dernier, il a défendu l’idée de prix plancher « depuis une base solide, celle des indicateurs de coûts de production déjà existants ; ils sont définis depuis la loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, dite loi Egalim 1, et sont déterminés avec l’interprofession ».