L’association Etréchy et son passé ne veut pas voir disparaître ce qui fait l’âme de la ville.
«Ce n’est pas parce que la population croît et que le village est devenu ville, qu’il faut détruire nos racines. » C’est par ces mots que Marie-Claude Bezault, de l’association Etréchy et son passé, confie son inquiétude après l’abattage des tilleuls et quelques marronniers du boulevard Saint-Vincent il y a quelques jours.
« Comme on le voit sur cette carte postale du tout début du XXe siècle, on peut deviner la ceinture d’arbres d’Etréchy et les trois boulevards Saint-Vincent, des Lavanadières et…
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