Une maison familiale d’un corps de ferme du village retrouve une seconde vie en lieu d’hébergement.
Pour Anne Thierry qui se cache derrière la Maison Paulette, ce projet n’est pas un hasard, c’est un retour aux sources. « Dans le village de mon enfance, au cœur de la ferme dans laquelle j’ai grandi, se trouve la maison de mes grands-parents. Dans ce lieu si cher à mon cœur et chargé d’histoires, je souhaite apporter un nouveau regard sur ces bâtiments familiaux », dit-elle.
S’adressant principalement aux urbains, vivant à Paris et souhaitant faire une pause, la Maison Paulette permettra de « tisser des liens entre le passé et le futur, la vie urbaine et la vie rurale ». Ce dernier point est d’ailleurs important pour Anne Thierry qui se définit d’ailleurs comme agitatrice de terroir…
Retrouvez l’intégralité de cet article dans nos éditions papier et numérique du jeudi 30 août.
