Les indicateurs de sécurité sur la voie publique dans la ville sont bons.
Au quotidien, les effectifs de la Police nationale sont sur le terrain pour faire d’Etampes une ville sûre, et le commissaire Eric Bouffet défend le dur travail effectué par les fonctionnaires du commissariat d’Etampes et particulièrement les 56 effectifs de voie publique, de jour ou de nuit, qui chaque jour, travaillent à faire d’Etampes une ville sécurisée.
La lutte contre le trafic de stupéfiants représente une part importante de l’activité policière. « Nous avons mené depuis le début de l’année une quinzaine d’opérations contre le trafic de stupéfiants, en générale communes avec la Police municipale, qui sont toujours fructueuses. Elles nous permettent de faire des découvertes de substances cachées dans les parties communes des immeubles et de faire des interpellations », souligne le commissaire. La ville compte aujourd’hui deux points de deal principaux avec à chaque fois une dizaine de personnes impliquées dans le trafic sur les points identifiés et ciblés par les services.
Le commissaire souligne le travail pied-à-pied, mené chaque jour par les effectifs pour « faire reculer tous les jours les trafics ». Egalement, quatre opérations importantes ont été menées sur des secteurs spécifiques, « parfois avec des renforts départementaux ». « Ces opérations permettent de ratisser le terrain », et également de se rendre visible. Quand la police occupe quotidiennement le terrain, la délinquance recule dans son occupation de la voie publique.
Deux opérations de lutte contre le trafic de stupéfiants ont aussi permis de faire plusieurs interpellations et des saisies significatives de substances illicites. « C’est la répétition de ces opérations ciblées qui fait reculer les trafiquants », explique le commissaire.
Empêcher la délinquance de s’installer
Au-delà de ces opérations, le commissaire Bouffet souligne l’activité soutenue et quotidienne très importante et pas toujours connue du grand public menée chaque jour. « 60 à 70% de nos interventions de nuit sont liées à des problèmes de tapage ou de voisinage. Nous sommes ici dans l’assistance aux personnes, au public. C’est une mission très importante et très gratifiante, motivante pour nos personnels car il s’agit du quotidien des habitants », souligne-t-il.
Empêcher l’occupation d’un hall d’immeuble…
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