Commandante du groupement de Gendarmerie de l’Essonne depuis 2018, la colonelle Karine Lejeune quittera officiellement ses fonctions le 31 juillet.
Après trois années marquées par des projets menés à bien et une succession de crises, la colonelle Lejeune a dressé un bilan de son action dans le Département de l’Essonne le mercredi 7 juillet dernier.
Si l’on ne saurait réduire son action à celle de la communication, celle-ci a été une part non négligeable du travail accompli, se faisant le reflet de la colonelle Lejeune, ancienne porte-parole de la Gendarmerie nationale.
« Quand je suis arrivée à la tête du groupement, nous avions une page Facebook qui avait peu de visites. Tout de suite je l’ai remise en route afin que l’on puisse faire connaître notre mission au grand public. Le faire savoir est essentiel », souligne-t-elle.
De 3000 abonnés en 2018, la page est arrivée aujourd’hui à 15500 abonnés. Un compte Twitter a également été lancé le 14 février 2019 et compte 5649 abonnés, il a été suivi par un compte Instagram le 14 février 2021 qui compte 1585 abonnés.
Autant de moyens de communication qui permettent de toucher des publics cibles différents et surtout de faire circuler les informations d’urgence lorsqu’une activité opérationnelle est en cours, d’information sur l’action des militaires ou de prévention tout au long de l’année. Et ça marche.
« Lors de l’épisode des feux de chaume en 2019, notre publication a touché plus de 100000 personnes. De même lors des alertes disparition, nous touchons à chaque fois énormément de monde », détaille-t-elle.
Idéal pour renforcer l’image de la Gendarmerie, et rappeler qu’elle est avant tout « une force humaine de proximité ».
L’engagement des militaires d’active et des réservistes salué
Durant ces trois années, la succession des crises a été marquante. Il y a d’abord eu la crise…
Retrouvez l’intégralité de l’article dans nos éditions papier et numérique du jeudi 15 juillet ou sur cafeyn.co.
