Une partie des résidents du Grand Air, rue Saint-Caprais sont à bout : « Il n’y a plus aucun entretien, ils ne font plus rien. Nous avons beau leur écrire, par courrier ou par mail, pour qu’ils passent au moins la tondeuse. Ils nous disent qu’ils vont s’en occuper, et des semaines après, rien n’est encore fait ». Les problèmes deviennent de plus en plus nombreux dans la petite résidence qui compte une cinquantaine d’appartements.
Un climat délétère
Pour beaucoup, la situation s’est aggravée lorsqu’un membre actif du conseil syndical démissionne en 2015 suite à des divergences de point de vue avec les membres du conseil et le syndic…
Retrouvez l’intégralité de cet article dans notre édition papier et numérique du jeudi 1er décembre 2016.